Il y a des jours « avec », et des jours « sans »… Et si ces jours « sans » que nous traversions étaient le signe d’un mal-être plus général, dans une société exigeant toujours plus ?
Cette question a été débattue dans le cadre d’une rencontre entre usagers et professionnels autour du thème « Etre bien dans sa tête, une obligation sociale ? » courant 2010. Les échanges entre participants ont essentiellement tourné autour du regard que porte notre société sur les gens qui ne vont pas bien. Entre les différentes représentations et attitudes qu’il est possible de rencontrer, le chemin peut sembler long pour que tous se sentent bien… Sauf, si une prise de conscience collective des difficultés vécues par de plus en plus d’individus pouvait émerger pour être le moteur d’un véritable changement en faveur d’un mieux-être social.
*La version papier est épuisée.