Avant d’être automobilistes, cyclistes ou motards, nous sommes avant tout des piétons. D’ailleurs, durant le confinement, la marche est apparue comme le seul et unique moyen de s’aérer le corps et l’esprit.
Il semblerait que l’on ait tout à gagner à développer des villes qui laissent plus de place aux piétons : moins de pollution, une meilleure santé, plus de convivialité, une économie stimulée.
On assiste aujourd’hui à un véritable renouveau de la marche urbaine. La marche est désormais intégrée dans les politiques urbaines et permet de revenir à une question centrale par rapport aux villes et à la société : comment cohabiter ? Comment partager l’espace ? Comment vivre ensemble ? Car si les bienfaits de la marche sont incontestables, celle-ci n’est pour autant pas accessible à tout le monde, que ce soit pour des raisons de santé, de temps ou d’accessibilité.
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