La brochure Ah je ris (/je pleure) de me voir si belle (si moche) en ce miroir s’interroge sur les codes de beauté imposés par notre société.
A l’heure actuelle, l’image de soi – et des autres – a pris une importance prépondérante dans la vie quotidienne, au point de devenir un poids opprimant et une source de discriminations. Nous avons en effet grandi avec des préjugés, de sorte que nous avons tous tendance à attribuer des traits de caractère aux personnes selon leur apparence physique. Ainsi, dans l’imaginaire collectif, la beauté va de pair avec le bien tandis que la laideur est associée au mal.
L’environnement hyper-médiatisé dans lequel nous évoluons contribue également à cette tyrannie des apparences. Les médias sociaux nous exposent à un flot constant d’images d’hommes et de femmes au physique parfait. Peu représentatifs de la population réelle, ces corps mis en lumière véhiculent insidieusement des normes de beauté qui dictent nos représentations, attitudes et comportements.
Rien d’étonnant, dans un tel contexte, que chacun ait l’impression de devoir se lancer dans une course à l’apparence parfaite.
La brochure « Ha je ris (/je pleure) de me voir si belle (si moche) en ce miroir » interroge :
La collection Représentations croise les regards et représentations (citoyens, usagers, professionnels…) sur des enjeux de société touchant à la santé et à la qualité de vie. Une approche qui permet de multiplier les points de vue tout en montrant la complexité des éléments dont il faut tenir compte quand il est question d’améliorer la qualité de vie.
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